C'est pour vous messieurs que l'on se pare ↨ AMELYA [100%]

♦ MESSAGES : 17 ♦ ARRIVÉ(E) LE : 13/06/2011 ♦ AVATAR : Dianna Agron

Prénom:Amélya
Nom: Lockwood
Âge: 19 ans
Contrée natale:Cornouaille
Rang social: Noble
Métier: Princesse
Camp: La neutralité pour le moment

Dis-nous qui es-tu réellement...

« Parce qu'il faut commencer par la partie la moins rigolote, on va commencer par les défauts voulez-vous. Bien aucune objection alors on commence. Je suis tout d'abord très très très colérique. Je me prend la tête pour un rien. Je pense que je m'emporte pour un rien mais au final, je pense que si je ne m'énervais pas pour un rien je serais trop bizarre. Déjà que je le suis !!! Je me met souvent en colère quand je deviens maladroite. Cela m'embête de n'arriver à rien sans casser quelques choses. Ensuite je suis aussi plutôt pas très sur de moi même si je paraît tout le contraire. J'aime la compagnie des gens, je préfère être avec eux que seule mais j'aime aussi resté dans mon coin à lire ou à écrire et par contre, je ne leur parle presque jamais de mes problèmes, ça ne regarde que moi. Je suis aussi plutôt frustrée. Je me braque pour un rien et je n'aime pas avoir tord et donc je suis très rancunière. Je refuse d'admettre que j'ai tord donc je suis aussi très très têtue. Quand je veut faire quelques choses, je le fais sinon je boude ! Pour finir, je suis aussi rancunière. Je déteste qu'on me mente ou qu'on me fasse du mal. Essayer et je vous raye de ma vie de suite. Ensuite passons aux côtés positif. Je suis une femme plutôt courageuse. Je suis capable de tout pour mes ami(e)s et c'est pour cela qu'on me dit que je suis loyale. Je respecte mes engagements et quand je donne ma parole c'est pour l'éternité que vous l'avez. Après malgré mon côté solitaire, je peux être très ouverte et attachante quand je le veux évidement et donc je suis plutôt douce comme fille demandait à.... J'accepte toutes les formes de différences et je dois bien dire que je n'ai pas trop le choix non plus. Je suis aussi une personne résignée et qui sait quand il faut s'arrêter. Je persévère et je suis dynamique. Je ne veux plus perdre une seule seconde. Pas mal non pour une seule et même personne. »

Chacun de nous à sa propre histoire...

"Le Roi est mort. Vive le Roi !" Cette phrase il ne pensait pas l'entendre avant longtemps. Le nouveau Roi Marcus, âgé de dix-neuf ans, venait d'être intronisé. Il ne pensait pas que son père serait mort aussi vite. Le défunt Roi Antoine était mort en moins de trois semaines, empoisonné apparemment. Il était Roi mais pas très apprécié du peuple contrairement à son fils Marcus. D'ailleurs Antoine avait tout fait pour que son fils soit apprécié du peuple. Mais il était mort bien trop tôt et il n'avait pu apprendre à son fils comment gouverner. Le jeune Roi Marcus a donc dû apprendre tout seul comment gouverner un royaume qui s'étendait sur des milliers de kilomètres. Mais le jeune Roi s'en ai toujours bien sortit. Il faisait attention à ce que son peuple lui disait et il prenait en compte l'avis de tout le monde. Il était apprécié du peuple mais aussi des nobles puisqu'il était tout simplement juste. Le jour de ses vingt-trois ans, il rencontra lors d'un bal une jeune princesse, Mélissa. Il tomba amoureux d'elle et lui fit la cours durant des semaines. La jeune femme aimait beaucoup le Roi mais elle n'osait pas l'approcher de trop près. Après tout, elle n'était que la princesse de Grèce. Le Roi de Grèce qui était un ami de la couronne de Cournouaille, voulait présenter sa fille au nouveau Roi. Il fut le plus heureux quand sa fille lui avoua l'amour qu'elle portait au jeune Roi. Le mariage eut lieu le jour même des dix-huit ans de la jeune princesse.

"Roi Marcus de Cournouaille voulez-vous prendre pour épouse la Princesse Mélissa de Grèce ici présente ?" "Oui je le veux." "Et vous princesse, voulez-vous prendre pour époux la Roi Marcus ici présent ?" "Oui je le veux." Ils étaient tous les deux sublimes dans leurs habits de mariage. Tout était en retenu. Elle était vétue d'une robe blanche perlé et lui avait mis un pourpoint bleu surmontée de son armure. Marcus était sur que son père serait fier de lui en cet instant. Il venait de se marier avec la femme la plus belle de l'univers à ces yeux. Elle était tout simplement heureuse d'avoir mis le grappin sur l'homme le plus beau et le plus simple du monde. Elle l'aimait de tout son coeur et pour lui, elle est devenue une gentille petite reine. Elle n'était plus la petite princesse que tout le peuple aimait mais que les nobles ne pouvaient pas voir parce qu'elle était tout simplement une garce avec les nobles. Elle menait le royaume de son père par le bout du nez, se mettant les gardes dans la poche et les nobles à dos. C'est pour cela qu'elle avait voulu s'éloigner de son pays d'origine. Elle ne voulait plus être que la petite princesse capricieuse. Elle voulait être aimée pour ce qu'elle était au fond d'elle et Marcus l'avait très bien compris. C'était la raison pour laquelle elle l'aimait plus que tout au monde. Elle était une bonne reine, très appréciée du peuple et des nobles. Ils s'aimaient tout simplement et tout le royaume les respectait pour cela. Il écoutait sa femme quand elle lui donnait des conseils et elle, elle savait rester à sa place quand il le fallait.

"Tu es enceinte Mélissa ?" "Non ! Pourquoi cette question ?" "Je ne sais pas. Tu es distante avec moi." "Oh je t'en prie Marcus ! Ce n'est parce que je ne me mêle plus des affaires de l'état que je ne te regarde plus !" "Ah bon tu me regardes ?" "Bien sur que je te regarde ! Tu es mon mari c'est bien normal que je fasse attention à toi non ?" Un sourire avait suffit pour que le Roi soit rassuré. Il avait peur que sa femme soit tombée amoureuse d'un autre chevalier. Il fallait bien dire que depuis que le Roi Marcus était marié, il n'était plus parti sur un champs de bataille. Mais aujourd'hui, il ne pouvait pas refuser. Uther avait besoin d'une armée et Marcus avait une armée très importante à sa disposition. Sa femme était au courant qu'il allait partir au front. Mélissa était peut être une femme mais elle savait très bien ce que la guerre voulait dire. Elle savait que son mari allait partir et c'est pour cela qu'elle ne lui dit pas ce jour là qu'elle était effectivement enceinte. Elle savait que si elle lui avait dit, il ne serait pas parti. Il aurait voulu rester avec elle pour veiller. Mais cette bataille était des plus importantes pour l'histoire alors son bien être passerait après la gloire de son mari. Elle embrassa son mari pour lui dire au revoir. Elle le regarda partir vers le champs de bataille et rentra dans le château en espérant que son mari rentrerait avant la fin de sa grossesse. Elle lisait ces lettres tous les jours en espérant apprendre la date de son retour au pays.

"Majesté. Votre mari est en route, il rentre Majesté." "Faites préparer mon cheval je vais à sa rencontre." "Au risque de vous déplaire Majesté, votre état ne vous permet pas de monter à cheval." "Tu as raison comme toujours. Je vais l'attendre ici. Merci à toi." "Je vous en prie votre Altesse." La Reine Mélissa attendait donc le retour de son mari dans sa chambre. Elle était enceinte jusqu'au yeux et elle allait bientôt accouché mais elle voulait absolument apprendre la nouvelle elle même à son mari. Bien entendu, elle n'eut pas le temps de lui dire vu qu'elle accoucha avant même que son mari ne rentre au château. Elle avait mis au monde une jolie petite fille blonde. Marcus rentra au château avec un large sourire aux lèvres. Il était au courant de la grossesse de sa femme. Il avait deviné quand il était parti. Connaissant Mélissa, il savait qu'elle ferait passer le devoir de son mari avant son propre bien être. Il monta directement dans la chambre de sa femme et il vit les deux femmes de sa vie. Il s'assit sur le lit et se pencha vers elle pour les embrasser. Ce n'était pas un garçon mais il s'en fichait. Il était à ce moment là fier de sa femme, fier du sacrifice qu'elle avait fait pour lui. "Tu n'aurais pas du m'évincer. Pe,dragon a rit quand je lui ai dit." "Je suis sur que tu ne m'en veux pas." "Mais non je ne t'en veux pas, tu le sais bien." Nous étions le quatorze février et les cloches de la citadelle résonnèrent longtemps ce jour là.

"Mère ! On peut aller au bord du lac s'il-vous-plait..." "Je ne préfère pas Amélya, il y a des brigands dans la forêt et..." "Allez mère s'il-vous-plait !!!" Mélissa ne pouvait rien refuser à sa petite fille. Le Roi n'avait pas plus d'autorité que sa femme. Les grands yeux verts de la petite Amélya avaient le don de faire fondre tout le monde à la cour. Les gardes faisaient la quatre volontés de la jeune princesse, les nobles lui faisaient toujours des cadeaux. La Reine, ce jour là, accepta encore une fois de céder au volonté de sa fille. Elles sortirent donc du château à cheval et se rendirent près du lac. Elles avaient amené un pique-nique et avaient passé la journée ensemble. Les deux jeunes femmes étaient au bord du lac, la Reine était dans l'eau et elle disait à sa fille de la rejoindre pour qu'elle lui apprenne à nager. C'était une des volontés de la petite princesse que d'apprendre à nager. "Allez vient Amélya. Allez n'ait pas peur !" "Oui mère j'arrive." La princesse s'avançait doucement vers l'eau quand elle vit une drôle d'expression sur le visage de sa mère. La Reine avait le visage très pâle tout à coup. On aurait dit qu'elle venait de perdre la tête. La petite princesse n'avait que cinq ans quand le drame se produisit. Sa mère se retourna et avança vers le lac. Elle continuait de marcher comme si de rien n'était. La Reine allait mourir et ça la princesse s'en rendait de plus en plus compte.

"Mère ! Mère ! Je vous en prie revenez ! Mère !" Elle avait beau lui crier de revenir, elle avait beau pleurer sur le rebord du lac, rien n'y faisait. La petite princesse de cinq ans ne pouvait rien faire. Elle ne savait pas nager, elle avait peur de l'eau en plus. Elle vit sa mère sombrer sous l'eau et elle ne pouvait rien faire contre. La princesse entendit des bruits de pas derrière elle. Elle se retourna très vite cherchant à savoir qui était là. Elle pleurait toujours quand elle vit une sorcière s'approcher d'elle. "Aidez ma mère, je vous en pris aidez là !" "Non je ne le peux pas petite princesse, parce que c'est moi qui suit en train de tuer ta mère." Elle ne comprenait pas pourquoi cette sorcière voulait la mort de sa mère. Ce qu'elle ne savait pas c'était que Mélissa avait fait tuer le frère de la sorcière. C'était pour cela qu'elle se venger maintenant de la plus grande Reine de Cournouaille. Mélissa avait définitivement disparu dans le lac. "Pourquoi ? Pourquoi !" "Ne m'en veut pas petite reine. Tu nous défendras quand tu seras plus grande. Plus tard tu comprendras." La sorcière partit aussi vite qu'elle était venue. Laissant derrière elle la petite princesse en pleure. La petite fille se leva et s'avança vers l'eau pour essayer de retrouver sa mère. "Non princesse !" Un soldat venait de s'emparer de la princesse pour la conduire au château. Elle vit simplement les soldats encercler la sorcière. Le Roi était là et donna un ordre simple : "Tuez la."

"Père ! Père ! Où est-elle ?" "Qui ça chérie ?" "La sorcière..." "Morte." La princesse regarda son père comme s'il venait de lui annoncer qu'il partait à la guerre. Il avait tué une sorcière. La princesse même si elle était en colère après la sorcière n'avait jamais voulu sa mort. Le Roi vit dans les yeux de sa fille que quelque chose venait de se briser. Dans la foulée le Roi ordonna que la magie était maintenant signe de trahison. La princesse était dans sa chambre et elle pleurait toujours la mort de sa mère. Les funérailles eurent lieu trois jours après la noyade. Des soldats avaient pu récupérer le corps de la Reine et il avait été préparé comme la tradition le voulait. La Reine eut pour dernier habit une longue robe blanche et des fleurs de lys était dans le caveau. Le peuple pleurait sa reine. Le roi pleurait sa reine. La princesse, elle, ne pleurait plus sa mère. Elle n'avait que cinq ans mais elle savait que son père ne se remettrait jamais du décès de sa femme. Elle savait qu'elle n'avait plus le droit de pleurer, que son père devait maintenant pleurer lui aussi. Ce jour-là, la princesse avait mis une jolie robe verte comme ses yeux. Le Roi lui avait mis des vêtements noirs. Il s'effondra devant le caveau de sa femme. Sa fille prit son père dans ses bras et le laissa pleurer tandis que les gardes refermaient la dernière demeure de sa mère. Nous étions le quatorze février et l'héritière du trône venait tout juste d'avoir six ans, chose que son père, le peuple et les gardes avaient complètement oublié.

Au delà des légendes arthuriennes...

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« Parce qu'il faut commencer par la partie la moins rigolote, on va commencer par les défauts voulez-vous. Bien aucune objection alors on commence. Je suis tout d'abord très très très colérique. Je me prend la tête pour un rien. Je pense que je m'emporte pour un rien mais au final, je pense que si je ne m'énervais pas pour un rien je serais trop bizarre. Déjà que je le suis !!! Je me met souvent en colère quand je deviens maladroite. Cela m'embête de n'arriver à rien sans casser quelques choses. Ensuite je suis aussi plutôt pas très sur de moi même si je paraît tout le contraire. J'aime la compagnie des gens, je préfère être avec eux que seule mais j'aime aussi resté dans mon coin à lire ou à écrire et par contre, je ne leur parle presque jamais de mes problèmes, ça ne regarde que moi. Je suis aussi plutôt frustrée. Je me braque pour un rien et je n'aime pas avoir tord et donc je suis très rancunière. Je refuse d'admettre que j'ai tord donc je suis aussi très très têtue. Quand je veut faire quelques choses, je le fais sinon je boude ! Pour finir, je suis aussi rancunière. Je déteste qu'on me mente ou qu'on me fasse du mal. Essayer et je vous raye de ma vie de suite. Ensuite passons aux côtés positif. Je suis une femme plutôt courageuse. Je suis capable de tout pour mes ami(e)s et c'est pour cela qu'on me dit que je suis loyale. Je respecte mes engagements et quand je donne ma parole c'est pour l'éternité que vous l'avez. Après malgré mon côté solitaire, je peux être très ouverte et attachante quand je le veux évidement et donc je suis plutôt douce comme fille demandait à.... J'accepte toutes les formes de différences et je dois bien dire que je n'ai pas trop le choix non plus. Je suis aussi une personne résignée et qui sait quand il faut s'arrêter. Je persévère et je suis dynamique. Je ne veux plus perdre une seule seconde. Pas mal non pour une seule et même personne. »

Chacun de nous à sa propre histoire...

"Père je vais faire une ballade que vous soyez d'accord ou pas." "Un garde t'accompagnera Amélya. Que tu le veuilles ou non." "Père ! Je sais me défendre toute seule !" "Ce ne sont pas des cours avec les soldats de la cours qui fait de toi un soldat !" "Père !" "Il en est hors de question !" "Ce n'est pas en ma gardant enfermé ici que vous me protégerez de tous !" "Ca suffit Amélya !" "Capitaine, voudriez-vous m'accompagner puisque sa Majesté le souhaite tant." "Arrête tes sarcasmes veux-tu !" "Je n'oserais jamais vous contre dire père. Alors Capitaine ?" "Je vous suis Altesse." Le capitaine accompagna la princesse jusqu'à la lisière de la forêt. Cependant, ce que le Roi avait oublié, c'était que toute l'armée était sous le charme de sa fille. Bien entendu, la princesse n'utilisait pas souvent ses charmes avec eux mais depuis que son père avait appris qu'elle savait manier l'épée. Marcus refusait que sa fille sorte du château sans protection alors Amélya faisait toujours en sorte de choisir un garde, comme cela elle savait très bien qu'elle pourrait tout leur demander sans qu'ils puissent refuser quoi que se soit. Ce jour là, la princesse voulait aller voir ses amis sorciers dans la forêt que son père lui interdisait formellement. Depuis que son père a fait de la magie une traîtrise, la princesse se démène pour tous les sauver. Le premier druide, elle l'a sauvé à sept ans. Son père n'est pas au courant et il ne vaut mieux pas pour elle.

"Altesse ! Vous ne devriez pas venir c'est dangereux pour vous ! Si votre père l'apprend..." "Je n'ai pas peur de mon père. Il ne me fera rien de toute façon." "Votre père peut être mais les autres n'hésiteront pas Altesse." "Il suffit Ulysse. Et puis, je vous ai déjà dit de m'appeler Amélya." "Oui Majes... Amélya" On aurait pu croire qu'il y avait de la romance entre eux, alors qu'au final, il n'y avait rien de plus que de l'amitié. Il était son meilleur ami d'ailleurs. Ulysse était un sorcier. Il avait montré ses pouvoirs à sa princesse. Il savait que quand elle monterait sur le trône, rien ne serait plus pareil. Il savait qu'elle les aidait quand il y avait des persécutions. La princesse n'est pas seulement belle, elle sait aussi qu'elle doit protéger son peuple même s'ils sont magiques. C'est pourquoi ce jour là, elle avait amené de la nourriture et des médicaments aux druides de la forêt. Le Capitaine était en lisière de la forêt mais il pouvait quand même garder un oeil sur sa future souveraine. Il était admiratif tout simplement. Ulysse entraîna sa reine dans le coeur de la forêt. Il voulait absolument lui montrer quelque chose. La princesse fit alors connaissance de sa future servante. 'Je vous présente ma soeur, Aloysia. C'est une druidesse, mais elle est malade." "Je l'amène avec moi au château. Elle deviendra ma servante et on la soignera. Ne vous inquiétez de rien, mademoiselle. Je m'occupe de tout." "Oh Majesté ! Comment vous remerciez ?" "Soit simplement toi même petite soeur. C'est ça qu'elle aime chez nous." Ulysse regarda sa soeur partir vers le château an sachant que sa princesse la protégerait coûte que coûte.

"Ton grand-père vient de m'envoyer une lettre. Il souhaite que tu ailles vivre en Grèce quelques temps." "Mais enfin père, je ne peux pas partir comme ça du jour au lendemain." "Tu pars dès demain pour la Grèce. Aloysia t'accompagnera. Ce n'est pas négociable ma fille." "S'il plait à votre Majesté." Le Roi se retourna et regarda sa fille. Il espérait voir qu'elle ne lui en voudrait pas de sa décision mais ce fut l'inverse. Amélya était très en colère après son père. Ce soir là, elle fit parvenir une lettre aux druides de la forêt. Elle savait que n'étant plus au château ils risquaient leur vie en restant ici. C'est pour cela que la princesse ordonna à l'armée de les protéger en son absence. Elle ne s'en faisait pas car l'armée lui était fidèle contrairement à son père. "Bon voyage ma fille." "Au revoir Majesté !" Elle ne l'avait même pas regardé. Le Roi baissa les yeux, pensant que cette fois-ci il avait peut être perdu la dernière chose qui le maintenait en vie. Il la regarda partir puis rentra au château pour attendre son retour. "Votre père veut vous protéger Princesse." "Ce n'est pas en m'évinçant Aloysia qu'il m'aide. Comment ferais-je quand il mourra et que je devrais gouverner seul ?" "Je sais Altesse mais que voulez-vous faire ?" "Et bien mon amie, on va en Grèce pour le moment et on verra bien après." Le voyage ne faisait que commençait et il dura trois semaines : une semaine de bateau et deux semaines de cheval. La Grèce était enfin en vu et c'est avec émotion que la princesse contempla pour la première fois, le pays de sa mère.

"Bienvenue en Grèce ma petite-fille." "Merci beaucoup Majesté." "Allons tu es ma petite-fille alors ne fait pas de manière avec moi. Tu es ici chez toi." "Je vous remercie Grand-Père." Les deux jeunes femmes rejoignirent les appartements qu'elles allaient partagé de nombreuses semaines. Amélya venait d'avoir seize ans et elle vivait en Grèce avec son grand-père, au milieu de la cour et du peuple de sa mère. Pour la première fois depuis la mort de sa mère, la princesse pleura. Le Roi, son grand-père, vint la réconforter. Il lui dit que tout irait bien pour elle et pour son royaume qui n'attendait qu'elle là-haut dans le nord. Aloysia réconforta sa maîtresse du mieux qu'elle put mais elle voyait bien que sa princesse était beaucoup plus faible qu'elle ne le laissait paraître. D'ailleurs, le Roi de Grèce fut étonné quand il appris que sa petite-fille apprenait les rites de la déesse Athéna. La princesse passa son temps à faire des rites religieux, à manier l'épée et l'arc et à répondre aux nombreuses lettres qu'elle recevait. Dans ces lettres, on lui disait de revenir que son père devenait fou et qu'il voyait la conspiration partout. Mais Amélya refusait de rentrer. Elle aimait son père plus que tout au monde mais elle savait que si elle rentrait il recommencerait à avoir peur pour elle alors que loin de lui, il était quand même un peu plus serein. Ce qui la fit changer d'avis fut la lettre qu'elle reçut d'Ulysse. Son meilleur ami lui disait qu'un coup d'état ce préparer et que son père allait être empoisonné lors du bal qui fêtait la première mort de sorcier. La princesse ne pouvait pas rester là sans rien faire. "Grand-père, je dois partir. Je vous en prie ne me retenez pas." "Je fais préparer un bateau pour que tu puisses partir." "Mais comment ?" "J'ai des espions partout tu sais et tu devais de toute façon y retourner un jour. Il vaut mieux maintenant parce que sinon je ne pourrais plus te laisser partir." "Merci Grand-Père." Elle s'était jetée dans ses bras.

Le voyage fut long pour la princesse. Elle avait juste le temps de rentrer avant la fête pour essayer de sauver son père. Aloysia voyait très bien que sa maîtresse n'était pas dans son assiette. La princesse avait vraisemblablement un plan et Aloysia craignait que personne ne soit d'accord avec celui-ci. "Que comptez-vous faire Altesse une fois arrivée ?" "Tu le sauras bien assez tôt crois-moi." Le voyage se passa bien. En trois semaine, elles étaient de nouveau chez elles. Le bal devait avoir lieu le soir même du retour de la princesse et personne ne savait qu'elle serait là ce soir-là. C'est pourquoi quand Amélya apparut dans sa superbe robe grecque au bras d'un des garde de la cours, les commanditaires du coup d'état eurent un mouvement de recul et tout le monde se tut. Le Roi regarda sa fille comme s'il ne la reconnaissait pas. Du haut de ces dix-sept ans, la demoiselle ressemblait énormément à une femme en particulier : à sa défunte mère. Le Roi ne dit un mot. "J'espère ne pas arriver trop tard pour le début des festivités Majesté. Monsieur le Duc pourrais-je avoir une coupe de ce vin moi aussi ?" "Mais Altesse vous... vous..." "Y aurait-il un problème avec ce vin ?" "Non non bien sur que non votre Altesse." "Bien ! Alors santé !" La princesse but une gorgée du vin. Une seule gorgée et elle s'effondra au sol. Le vin était empoisonné. Sans un mot des flèches traversèrent la salle et entrèrent dans le corps du Duc. L'armée n'avait pas oublié sa princesse et elle ne permettait pas qu'on lui fasse du mal.

"Alors arriverez-vous à la soigner ?" "Je dois avouer Sire que je ne connais pas ce poison. Il semble venir d'un autre monde. Je ne peux la soigner seul..." "Vous connaissez quelqu'un qui pourrait la soigner ?" "En effet Sire." "Faîtes-le quérir immédiatement." "Majesté il s'agit d'un sorcier." "Soignez ma fille. c'est tout ce que je demande." Le médecin de la cours fit quérir le fameux sorcier et il fallut moins d'une semaine pour remettre sur pied son altesse. Tout le royaume était reconnaissant envers le mystérieux médecin. Mais le Roi lui ne pouvait oublier que si sa femme était morte c'était à cause des sorciers. Il le fit alors arrêter et le jugea comme coupable de trahison. La sentence fut la mort. "Princesse vous devriez rester allongée vous n'êtes pas encore totalement remise et..." "Aide moi à enfiler une robe Aloysia." "Oui Altesse." Même si le Roi aurait voulu garder le secret de la sentence il ne l'aurait pu. La princesse avait beaucoup appris en Grèce notamment le fait que l'on doit toujours espionner son voisin. Elle mit en application cette leçon de vie et c'est comme cela qu'elle apprit pour le pauvre sorcier. Il devait être exécuté à l'aube. Ça donnait assez de temps à la princesse pour faire changer d'avis son père. "Majesté." "Amélya. Comment te sens-tu ? Tu ne devrais pas te lever tu es encore trop faible." "Je dois bien avouer que je préférerais être au lit père mais ce que vous avez fait est ignoble. Comment pouvez-vous condamner à mort l'homme qui m'a sauvé la vie ?" "C'est un sorcier." "Est-ce la seule raison que vous pouvez me donner ?" "La magie a tué ta mère." "Et la magie m'a sauvé la vie ! Sans elle, je ne serais pas là en ce moment. Réfléchissez à cela père." Le Roi se retourna et regarda sa fille. Il ne l'avait jamais vu aussi déterminer à croire que la Grèce l'avait rendu encore plus mûre et têtue qu'avant. Le lendemain matin, le Roi relâcha le sorcier et fit annuler la loi contre la magie. De toute façon il n'eut pas trop le choix, parce que s'il tuait le sorcier, il aurait dû tuer sa fille qui avait réussit à faire promettre au bourreau de l'exécuter si le Roi ne changeait pas d'avis.

L'espionnage était devenu l'activité favorite de la jeune héritière. Elle était toujours au courant de tout avant les autres. La seule chose qui lui avait échapper fut la traîtrise de Lucius envers le roi Pendragon. C'est avec effroi que la princesse apprit la mort de son protecteur. Dès qu'elle le sut elle en informa son père qui fit vérifier la nouvelle. Lucius allait devenir le nouveau Roi de Camelot et une guerre allait surement avoir lieu. "Père nous devons aider l'héritier de Pendragon. En mémoire du Roi." "Tu as raison ma fille, mais que pouvons-nous faire ? Lucius est Roi et le fils de Pendragon est mort..." "Je vais prévenir l'armée. L'Héritié aura besoin de toute l'aide nécessaire. Il doit savoir que nous l'aiderons mais il faudra rester discret sinon Lucius nous tuera... Restera ici que le strict minimum de soldat et... Pourquoi souriez-vous Père ?" "Quel homme tu aurais fait." La famille Lockwood se regarda et rit. Il n'y avait rien d'autre à dire. Marcus était fier de sa fille et Amélya avait pardonné à son père de l'avoir évincer du pouvoir. Maintenant tout était revenu à la normale et une nouvelle guerre s'annonçait. Guerre à laquelle Marcus devrait participer. Une lettre fut envoyée à Lucius pour le prévenir de l'arrivée des Lockwood à Camelot. "Bienvenue à Camelot Sire." "Pas de ça entre nous Lucius. Je suis navré pour votre Roi." "Majesté, je partage votre peine. Nous mettons à votre disposition notre armée." "J'apprécie beaucoup Princesse." "Lucius sachez que nous vous fourniront tous ce dont vous avez besoin. Nous vous prêtons allégeance à Camelot." "Je vous remercie Majesté." L'armée de Cournouaille était donc maintenant à Camelot. Les sorciers et les druides étaient tous restés dans le royaume pour le protéger et pour se protéger eux-même, l'armée était en place dans les remparts à attendre un signe de l'héritié de Pendragon. Accoudée aux murailles de Camelot, la princesse regardait à l'horizon. Il était clair que des batailles s'annonçaient.

"Faîtes attention à vous Père. N'oubliez pas de rabaisser votre visière quand vous serez au combat. Levez bien votre épée et protégez vous bien avec votre bouclier." "Amélya je sais me battre." "Oui Père je sais." "Ne t'inquiète pas ils ne sont pas beaucoup et puis ça me dérouillera." "Faîtes bien attention à vous Père. Revenez en vie." "Serais-ce un ordre Altesse ?" "En effet Majesté." La Princesse regarda son père partir au front. Il n'allait pas se battre pour Camelot mais pour notre pays. Mon père avait alors prévenu Lucius qu'il devait aller se battre pour sa patrie. "Il reviendra ne vous inquiétez pas Amélya." "Votre Roi aussi devait revenir Lucius." Le Roi regarda son invité. La princesse rejoint ses appartements attendant la lettre qui lui dirait que tout irait ou que tout irait mal. Elle n'eut pas à attendre longtemps. Quinze jours après le départ de son père, la princesse apprit qu'il était bien portant mais qu'il restait dans leur royaume pour le reconstruire. La princesse se retrouvait alors seule à Camelot. Enfin seule c'était un grand mot, puisqu'elle avait à ses côtés Ulysse et Aloysia. Que pouvait-elle demander de plus franchement ?

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Land of Tears

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WHISPER OF A NAMELESS FEAR · ♦ MESSAGES : 143 ♦ ARRIVÉ(E) LE : 20/12/2010 ♦ AVATAR : ☞ craig horner.

DIANNA

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Aeryn Mordhain a écrit:

Land of Tears

Merci beaucoup à toi C'est pour vous messieurs que l'on se pare ↨ AMELYA [100%] 644552

KATIE

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Ippodhamià B. Ludendroff a écrit:: Welcome here

Merci beaucoup C'est pour vous messieurs que l'on se pare ↨ AMELYA [100%] 151330

Daenerys L. Hood a écrit:: Bienvenue :-)

Merci beaucoup

Alistair Morwen a écrit:

DIANNA

ALISTAIR

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Merci beaucoup à toi ^^

J'ai une petite question... Pourquoi ne pouvons-nous pas changer notre camps dans le profil ? j'avais mis la neutralité comme ça parce que je ne m'étais pas encore décidé mais là c'est fait et je ne trouve pas où le changer xD

WHISPER OF A NAMELESS FEAR · ♦ MESSAGES : 143 ♦ ARRIVÉ(E) LE : 20/12/2010 ♦ AVATAR : ☞ craig horner.

Et voilà, normalement c'est régler. C'est pour vous messieurs que l'on se pare ↨ AMELYA [100%] 364123936

j'espère avoir droit à un petit cadeau en guise de remerciement. C'est pour vous messieurs que l'on se pare ↨ AMELYA [100%] 646598

♦ MESSAGES : 17 ♦ ARRIVÉ(E) LE : 13/06/2011 ♦ AVATAR : Dianna Agron

Tu as le droit à ce que tu veux mon cher C'est pour vous messieurs que l'on se pare ↨ AMELYA [100%] 48970

Je pense avoir fini ma fiche C'est pour vous messieurs que l'on se pare ↨ AMELYA [100%] 6701

WHISPER OF A NAMELESS FEAR · ♦ MESSAGES : 143 ♦ ARRIVÉ(E) LE : 20/12/2010 ♦ AVATAR : ☞ craig horner.

j'ai déjà ma petite idée C'est pour vous messieurs que l'on se pare ↨ AMELYA [100%] 646598

Très belle présentation, notamment une histoire qui nous plonge bien dans la vie de ton personnage. J'ai beaucoup aimé, c'est donc avec grand plaisir que je te valide. C'est pour vous messieurs que l'on se pare ↨ AMELYA [100%] 672906

Amuses toi bien parmi-nous. =)

♦ MESSAGES : 17 ♦ ARRIVÉ(E) LE : 13/06/2011 ♦ AVATAR : Dianna Agron

J'ai hâte de la connaitre C'est pour vous messieurs que l'on se pare ↨ AMELYA [100%] 646598

Merci beaucoup à toi C'est pour vous messieurs que l'on se pare ↨ AMELYA [100%] 6701

C'est pour vous messieurs que l'on se pare ↨ AMELYA [100%]

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